Qu’est-ce qu’un bottom feeder ?

cigarette electronique

Quand on commence à vapoter, on se contente sans doute un peu de ce que l’on trouve. Avec l’expérience, vient l’exigence, ce à quoi entend répondre un bottom feeder.

Bottom feeder : de quoi s’agit-il

Une bonne expérience de vape, qu’est-ce que c’est, au fond ? Si l’on devait résumer, on pourrait dire que c’est une vape riche en saveur, tout en comptant sur une très grande autonomie, en tout cas plus étendue que ce que l’on peut attendre d’un atomiseur classique.

Cela est bien entendu beaucoup demander. Pourtant non, car c’est l’expérience à laquelle il faut s’attendre avec un bottom feeder ; comprenez alimentation par le bas, pour une traduction presque littérale.

Pour arriver à ce résultat, le vapoteur doit acheter un Squonk ou box BF et un dripper botton feeder. Ce dripper a ceci de particulier qu’il est vissé sur une fiole en plastique qui possède une contenance pouvant aller jusqu’à 10ml.

La personne peut exercer une pression et injecter du liquide dans le dripper directement via l’extérieur de la box, puisqu’une partie reste accessible, à chaque fois qu’elle le souhaite.

Si ce dispositif reste quelque peu encore confidentiel ; tout au moins pour les non-initiés ; le bottom feeder commence à se faire une place intéressante auprès des personnes qui entendent profiter pleinement de leur e-liquide et de l’arôme qu’ils ont pu choisir pour cela.

On peut espérer, au fil du temps, une démocratisation des prix si cela intéresse de plus en plus de monde, car pour l’instant tout le matériel de bottom feeder demande un investissement financier que tous les vapoteurs ne sont pas prêts à faire.

Pourquoi arrêter de fumer avec la cigarette électronique

Car le coût financier, c’est aussi ce qui pousse de nombreux français à préférer la vape, plutôt que le fait de fumer, sans compter l’aspect médical et sanitaire : en effet, des études anglaises tendent à prouver que vapoter est à 95% moins dangereux que le fait de fumer. Sachant que le prix des paquets de cigarette ne fait qu’augmenter, le calcul est vite fait. Cette dépendance à la nicotine doit prendre fin.

Pourtant, il est normal de craindre l’effet du manque induit par le sevrage. C’est notamment pour cela que les autres dispositifs sont considérés comme moins efficaces. Il est difficile de trouver des patchs qui soient tout à fait dosés comme on le souhaiterait au départ. Le manque arrive rapidement et les fumeurs replongent vite dans leur addiction, parce que la gestuelle et les habitudes leur manquent aussi.

En tenant une e-cig à la main, en l’allumant et en inhalant ; même s’il s’agit ici de vapeur d’eau ; le cerveau, habitué aux gestes est trompé et comme la fréquence d’utilisation est aussi inchangée, cela a un double effet positif.

Au contraire d’autres moyens, on peut tout à fait choisir son taux de nicotine sur des flacons prêts à l’emploi ou même s’essayer au DIY avec des calculateurs.

La prise en main du fonctionnement de l’e-cigarette est importante pour la suite car on peut ensuite commander des fioles qui contiennent un peu moins de nicotine. Si l’on a commencé à 20mg/ml, ce qui est le maximum autorisé, à moins de prendre des boosters de nicotine sur des flacons de plus grande capacité, le dosage suivant sera de 15 et ainsi de suite.

Il existe des e-liquides qui ne contiennent pas de nicotine du tout. S’ils sont réservés aux vapoteurs non dépendants de la cigarette, ils se destinent donc à terme aux anciens fumeurs.

Le maintien de la gestuelle et des habitudes est idéal, si on a peur de rechuter ou si l’on associe les pauses vape à des moments de convivialité au travail, par exemple ou chez des amis.

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